On a souvent dit à Loïc, Reretini, Lalita, Tehau et Sailali qu’ils avaient mauvais genre. Dans les îles polynésiennes où ils sont nés, certains les appellent « Mahu », « Raerae » quand d’autres parlent de « 3ème sexe ». Ils incarnent le visage expressif de la transidentité en Polynésie française et avec tendresse et sincérité, ils nous ouvrent les portes de leur quotidien, dans toute sa Lumière comme dans ses facettes les plus sombres. Portant la voix du Pacifique, ils témoignent de la richesse de cette identité plurielle, dont ils appris au fil des épreuves à être FIER.E.S !